J’essaye un kit « tout fait » de biere sombre : Malt extract liquid Muntons hopped dark
Trop houblonné pour moi, amertume trop prononcée à mon gout.
J’aime bien la rhubarbe, comment la cultiver et la cuisiner ?
http://www.ledomainedelasource.fr/
https://www.agrireseau.net/legumeschamp/documents/cultivars_rhubarbe.pdf
https://kokopelli-semences.fr/fr/p/P2014-a-cardes-rouges-red-rhubarb
A propos du nombre de plants qu’on peut esperer avec un sachet kokopelli me reponds :
Un sachet de 4 grammes contient environ 300 graines.
Pour optimiser la durée de vie de vos graines, il vous faudra les protéger de la lumière, de la chaleur et de l’humidité. Dans des conditions optimales de conservation, vous ne devriez pas avoir de mal à les utiliser ultérieurement. Il faut également éviter de les conserver dans des meubles en aggloméré ou dont le bois est traité. Ceux-ci contiennent des solvants chimiques qui sont très nuisibles et altèrent la capacité germinative des semences.
Si vous souhaitez les conserver plus longtemps, nous vous conseillons de les stocker au congélateur, elles garderont ainsi leur pouvoir germinatif durant de nombreuses années.
Fond de sac d’herbes :
52g d’un mélange de reine des pres, achillée, un peu d’armoise (et quelques graminées qui traînaient par là. Plus 5g de houblon (Hallertau perle) , parce que je n’aime pas la biere qui tourne.
50 mn de décoction.
15h debut chauffage 7l
16h 82° ajout 2kg seigle grain concassé -> 77°
16h20 75°
ajout 3,9kg orge malté 0,4 kg carahell
-> 64°
plaque 2+2 -> 63°
17h je passe les plaques à 7+7 à 17h20 on est à 82° car erreur de mesure, la chaleur s’accumule en bas
->arret
18h descenud à 76°
19h -> filtrage : recuperation 10l, puis ajout 2 x 5l à 80°
45 mn ebu avec 24g aramis + les ecorces de 3 poncirus + 5g de cardamone
OG 1,053
3 semaines (et 4 semaines) 1,027
Mise en bouteille 19 nov avec 7g/l
Le marron : http://www.snv.jussieu.fr/bmedia/Fruits/marron.htm
contient des saponines et des tanins -> non comestible
le taux de saponine peut atteindre 10% :
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-01299390/document
pour concentrer les saponines, on pourrait liquéfier une purée, et supprimer l’amidon via une activité enzymes+bactérie+ferment
https://www.rekru.de/index.php?cPath=Brennmaischezusaetze-fuer-den-Korn,-Kartoffel-und-Topinamburbrenner-Enzyme-Amylasen-122_343_347
https://www.destillatio.eu/fr/enzyme-vf/a-267/
Apres ça, on obtient un concentré de lessive liquide, probablement à reserver pour laver des vêtements tres sombres..
https://www.toxiplante.fr/monographies/marronnier.html
La page http://www.lesarbres.fr/texte-encyclopedie-marronnier,,.html (archive : www.lesarbres.fr-Marronnier ) m’a guidé vers des pages de l’Encyclopédie ou Dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des métiers, par une Société de Gens de lettres (1751-1772)
Publiée sous la direction de Diderot et d’Alembert
Scannée et mis au format électronique par l’Université de Chicago
extrait de : https://www.remedes-de-grand-mere.com/remede/recettes-naturelles-de-lessives/
Lessive naturelle aux marrons Tout le monde le connaît, il fleurit partout en France, on le trouve souvent dans les cours d’écoles : c’est le marronnier d’Inde (Aesculus hippocastanum). Ses marron donneront une lessive efficace pour le linge noir ou foncé. Comment procéder : – Pelez 1 Kg de marrons avec un économe ou en râpant l’écorce. Ensuite, hâchez-les. – Versez les marrons dans 2,5 litres d’eau bouillante et cuire 45 minutes à partir du moment où l’eau recommence à bouillir. – Laissez refroidir et filtrez. – Il faut compter 1 verre à moutarde pour une machine normalement remplie. Faites un test avant lavage sur les tissus fragiles. La lessive aux marrons est très douce et adaptée uniquement aux vêtements foncés, que l’on a porté qu’une fois avant lavage. Pour nettoyer un jean porté plusieurs jours ajoutez tout de même 1/4 de verre de savon de Marseille.
extrait de http://www.homejardin-loisirs.com/lessive-aux-marrons-d-inde.html
La Lessive aux Marrons d'Inde est très simple à réaliser et se conserve bien. En automne, au cours d'une balade, ne pas hésiter à ramasser les marrons. Naturellement elle permet de laver les lainages et les tissus foncés ou noirs. INGREDIENTS : 1 kilo de marrons d'Inde 3 litres d'eau (de pluie de préférence) PREPARATION : Enlever la peau dure qui entoure les marrons. Couper ensuite ces derniers en petits morceaux et les écraser dans un mortier, ou à l'aide d'un rouleau à pâtisserie. Dans une grande marmite mettre l'eau et les marrons écrasés. Couvrir la marmite. Porter le tout à ébullition et laisser bouillir pendant une heure. Laisser refroidir à température ambiante. Filtrer la préparation et verser dans des bouteilles ou des bidons. UTILISATION : La lessive aux marrons d'Inde s'utilise de la même manière qu'une lessive classique. Elle est à utiliser pour les lainages et les tissus foncés ou noirs. Attention, cette lessive est à éviter par les personnes allergiques aux fruits à noix, elle peut leur provoquer des irritations. CONSERVATION : Il n'y a pas de problème de conservation.
3 litres d’eau à bouillir, coupe le gaz puis infusion de 100g de fleurs de sureau (coupées court avec peu de rafles)
Ajout 300g de sucre (de betterave)
Ajout ferment lallemand british ale
OG : 1,035 gravité à 1 semaines 1,013
10 juin : 1,010 -> mise en bouteille
10 juillet : bon à deguster frais, un peu court en bouche mais parfumé
10 septembre : c’est devenu plutot du vinaigre de sureau…
Rammassé 92g d’ortie au bois de Vincennes -> 17g sec
+ 60g armoise sèche
+ 5 g de feuilles de ronces
en decoction 30 mn
puis ajout de 1,5 kg d’extrait liquide Muntons Ligth , completer à 10l d’eau
OG 1.045
Mise en bouteille à 33 jours.
D’apres Sacred and Herbal Healing Beer, on peut ajouter 85 g de lierre terrestre (Glechoma hederacea) pour amériser 15 litres de bieres.
Pour 5 litres, je vais utiliser 30g de lierre, avec 750g d’extrait liquide.
Décoction pendant 1 heure dans 3 litres d’eau
Notes de http://blog.metmuseum.org/cloistersgardens/2011/07/08/welcome-to-the-beer-garden/ Archive PDF:
The leaves of ground ivy (Glechoma hederacea) found their way into medieval beer as a flavoring ingredient. Like alecost, ground ivy also served to clarify and preserve beer. It was thought that the addition of the herb to beer would help to clear a person’s head of “rheumaticke humours flowing from the braine” (John Gerard, The Herball, or Generall Historie of Plants, 1597), and it was generally understood to act as a purifying tonic. [For those interested in experimenting with ground ivy as a brewing herb, it is readily found throughout the United States (see the U.S.D.A. Plants database).]
Dans « Sacred And Herbal Healing Beers The Secrets Of Ancient Fermentation », on lit :
Historically, ground ivy was one of the primary herbs used in ale and beer in Europe. Its frequent use in beer can be seen in its common names gill-go-over-the-ground, timhoof, alehoof, and alehove (« gill » is said to come from the French guille, meaning to ferment, and the Old English word was another word for wort). The three great herbalists of England— Gerarde (1597), Culpepper (1651), and Grieve (1931)— all comment on its use in ale. Culpepper insists that « It is good to tun up
with new drink, for it will clarify it in a night that it will be fitter to drink the next morning,- or if any drink be thick with removing or any other accident, it will do the like in a few hours. »‘ . Maude Grieve is somewhat
more comprehensive when she comments in A Modem Herbal that It was one of the principle plants used by the early Saxons to clarify their beers, before hops had been introduced, the leaves being steeped in the hot liquor.
Hence the names it has also borne: Alehoof and Tunhoof. It not only improved the flavour and keeping qualities of the beer, but rendered it clearer. Until the reign of Henry the VIII it was in general use for this purpose.
OG 1,045 à deux semaines 1,025 FG à trois semaines 1,025
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